Contenu

Recherche par lecteur : Richard Lemal

132 résultats. Page 7 sur 7.

Durée:4h. 16min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:26830
Résumé: Joey le cheval de ferme, devenu cheval de guerre, en 1914, nous raconte son histoire, avec simplicité. Témoin de la Grande Guerre, il va vivre l'horreur des combats auprès des Britanniques, des Allemands, ou du côté des Français. Pour lui, les soldats, les paysans, les officiers, les vétérinaires ne sont pas des ennemis, mais des hommes, chez qui il rencontre la bonté comme la méchanceté. Joey partage leurs souffrances et leurs peurs, et sait leur redonner de l'espoir.
Durée:11h. 47min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:26739
Résumé: Qu'il s'agisse d'inégalités de traitement en fonction du sexe, de la race, de la sexualité, de la religion, de l'origine, des handicaps, de la santé, les discriminations sont aujourd'hui perçues et combattues comme la figure centrale des injustices. S'il est indispensable de les décrire et de les mesurer, il faut aussi que l'on sache mieux comment elles sont vécues par celles et ceux qui les subissent. L'écart est grand, en effet, entre les inégalités objectives et la manière dont les personnes les ressentent et, surtout, dont elles les tiennent pour justes ou injustes. Pourquoi moi ? s'efforce de rendre compte de ce vécu plus divers qu'il n'y paraît. De l'"expérience totale" qui fait de la discrimination le coeur de l'identité et du rapport au monde des individus à la distanciation que d'autres parviennent à installer grâce à un ensemble de stratégies et de tactiques, se déploie un espace de discriminations ressenties de façon plus ou moins intense. Ces expériences sont déterminées par le jeu complexe des conditions sociales. Ainsi les plus discriminés ne sont pas nécessairement ceux qui éprouvent les sentiments d'inégalité les plus aigus. La comparaison entre l'école et l'hôpital montre que les discriminations sont perçues de façon très différente dans ces institutions pour lesquelles la diversité des cultures et des personnes ne constitue pas le même enjeu. Les discriminations et les luttes qu'elles entraînent révèlent de profondes transformations de notre vie sociale et de nos subjectivités ; non seulement elles dévoilent des injustices intolérables, mais elles montrent comment les individus essaient de se construire comme les sujets de leur liberté et de leur identité quand l'ordre social perd de son unité et de son ancienne légitimité.
Durée:3h. 39min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:29419
Résumé: C'est l'histoire d'une rupture amoureuse, une nuit, à Tokyo. C'est la nuit où nous avons fait l'amour ensemble pour la dernière fois. Mais combien de fois avons-nous fait l'amour ensemble pour la dernière fois ? Je ne sais pas, souvent.
Durée:12h. 18min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:26231
Résumé: Philip, sans la connaître, déteste cette femme que son cousin Ambroise, avec lequel il a toujours vécu étroitement uni dans leur beau domaine de Cornouailles, a épousée soudainement pendant un séjour en Italie. Quand Ambroise lui écrira qu'il soupçonne sa femme de vouloir l'empoisonner, Philip le croira d'emblée. Ambroise mort, il jure de le venger. Sa cousine, cependant, n'a rien de la femme qu'imagine Philip. Il ne tarde pas à s'éprendre d'elle, à bâtir follement un plan d'avenir pour finir par buter sur une réalité de cauchemar.
Durée:20h. 9min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25964
Résumé: Le bâtiment le plus précieux de la flotte soviétique - un nouveau sous-marin balistique commandé par son plus brillant officier - tente de passer en Amérique. Devant cette trahison d'une envergure sans précédent, la flotte soviétique entière a reçu l'ordre de le traquer et de le détruire à tout prix. Si la flotte américaine, alertée par la C.I.A., parvient à localiser Octobre rouge à temps pour l'amener à bon port, ce sera le plus beau coup de tous les temps. Mais le sous-marin a près de deux millions de kilomètres carrés pour se cacher, ainsi qu'un nouveau système de propulsion silencieux, impossible à détecter pour aucun des deux camps. La chasse dure dix-huit jours... A l'approche du but, tous les bâtiments convergent...
Durée:4h. 14min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:26854
Résumé: Pomme croquée et drapeau arc-en-ciel, le constructeur d'ordinateurs Apple rendait un hommage crypté au mathématicien homosexuel Alan Turing, l'un des plus grands esprits du XXe siècle, qui mit fin à ses jours le soir du 7 juin 1954 en mordant dans une pomme imprégnée de cyanure. Cet étrange surdoué, étudiant à Cambridge dans les années 1930, se distingue en posant les fondations des recherches en intelligence artificielle. En 1936, il a l'idée de concevoir un ordinateur. La Seconde Guerre mondiale lui offre l'occasion d'appliquer ses théories : pour le compte des services secrets britanniques, il parvient à percer le secret de la machine Enigma qui permettait aux nazis de coder leurs messages, et contribue ainsi à la victoire des Alliés. Mais ce héros discret est contraint de demeurer dans l'ombre, une première fois en raison de ses travaux pour les services secrets et par la suite pour sa sexualité : dans la Grande-Bretagne d'après-guerre, l'homosexualité est un crime. Ecarté de tous les grands projets scientifiques, Turing est condamné en 1952 à la castration chimique. Mariant enquête journalistique et archives conservées à Cambridge, Laurent Lemire conte l'histoire stupéfiante d'un génie victime de la cruauté et de l'intolérance de son temps.
Durée:4h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:26776
Résumé: Hassan, 15 ans, vit une double tragédie. Celle de sa vue qui ne cesse de baisser et celle de l'histoire de son pays, l'Algérie à la veille de l'indépendance, faite de douleurs et d'incertitudes.
Durée:8h. 35min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:25462
Résumé: 54 heures d'angoisse, 173 otages et 45 membres du GIGN, prêts à tout pour les sauver. Un exploit historique et une aventure humaine jamais révélés. 24 décembre 1994. Roland Môntins, chef de groupe au GIGN, s'apprête à réveillonner en famille. Au même moment, à Alger, quatre terroristes surarmés s'emparent de l'avion d'Air France pour Paris. À bord, plus de 200 passagers, désormais otages. Très vite, trois d'entre eux sont exécutés. La froide détermination du commando terrifie toute la France. Dans la cabine, les heures puis les jours passent, infernaux, passagers et équipage attendent la mort... Le 26 décembre, l'avion se pose à l'aéroport de Marignane. 17h12 : le GIGN donne l'assaut. Roland, l'un des premiers à entrer dans l'avion, progresse dans les allées face aux tirs du commando. Lui et neuf autres gendarmes sont blessés. La détermination des hommes du GIGN ne faiblit pas : ils n'ont que quelques secondes pour neutraliser les terroristes, sauver les otages et évacuer l'avion piégé par une bombe. Le chef de groupe du GIGN, Roland Môntins et l'écrivain Jean-Michel Caradec'h racontent de l'intérieur, presque seconde par seconde, deux jours de tension et de drame : dans l'avion, l'organisation des terroristes et la terreur des otages ; à Alger et Paris, les âpres négociations politiques et, au coeur du GIGN, le montage de l'opération pour seize minutes de combat meurtrier. Cet assaut lancé sur un avion de ligne, sans qu'aucun otage ne soit blessé, reste unique dans l'histoire de la piraterie aérienne. Quand la réalité dépasse la fiction, cela donne un livre d'aventure et d'action exceptionnel.
Durée:6h. 7min.
Genre littéraire:Littérature érotique
Numéro du livre:25363
Résumé: Dans un monde sans tabou où règne la seule quête de la jouissance, nous voilà entraînés au coeur de liaisons clandestines, d'aventures troublantes, d'ébats torrides... pour notre plus grand plaisir ! Valse des coeurs, valse des corps, tout s'entremêle avec bonheur pour faire de ces nouvelles érotiques une véritable célébration des sentiments et des sens.
Durée:19h. 34min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25781
Résumé:
Durée:9h. 47min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:25492
Résumé: Pourquoi écrire un livre sur Antonin Artaud ? Parce qu'il me l'a demandé : impossible de le lire sans être appelé par sa voix. Mais comment répondre à son appel sans le trahir ? Comment lire en philosophe celui qui clamait sa " haine de la philosophie " ? Comment le lire sans le dévorer ni se laisser dévorer par lui ? Règle de lecture : ce qu'il écrit est vrai. Laissons cette vérité s'affirmer par elle-même sans lui imposer la grille d'une pensée étrangère, et sans prétendre la fixer dans la psychose ou la métaphysique. Pas de cruauté, pas d'impouvoir, pas de schizophrénie, pas de corps sans organes : autant de stéréotypes, de maîtres mots qui font obstacle à la lecture. Pourquoi écrit-il ? Pour sauver de l'oubli ses muses assassinées, ces corps massacrés, tous ces morts " dont le nom n'a jamais passé dans l'histoire ". Pour sortir de l'enfer, pour traverser cette " Poche Noire " où il a sombré, se réapproprier son je, son nom dont il a été dépossédé. Si la folie est l'absence d'oeuvre, le retour du Mômo est une " insurrection de bonne santé ". la bonne nouvelle d'une résurrection : il est possible de franchir la mort, de franchir " dieu " pour se refaire un corps. Il est possible de guérir la vie. C'est ce combat contre la folie, la mort et l'oubli, ce combat pour la vérité, que j'ai tenté ici de décrire : en passant de la scène du mythe, de la révolution théâtrale qui devait figurer la vie, à celle du fantasme, de la hantise sexuelle, du père-mère ; puis en remontant vers une dimension plus originaire, vers l'énigme d'une vie sans être, d'une chair qui est moi. Chair déchirée, en quête de son incarnation majeure, chair qui ne cesse de mourir, et pourtant toujours renaissante... Cette vérité du moi-chair qu'il voulait faire résonner dans la langue et le rythme du poème, sommes-nous enfin capables de l'entendre ?
Lu par:Richard Lemal
Durée:12h. 32min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:27580
Résumé: Le 1er août 1914, la France décrète la mobilisation générale. Comme un million d'autres Français, le lieutenant de réserve Charles Péguy reçoit sa feuille de route, embrasse les siens et rejoint son unité, le 276e Régiment d'Infanterie, à Coulommiers. Intellectuel engagé, normalien d'origine modeste, chrétien fervent, conservateur et pourtant républicain et dreyfusard, Péguy est un condensé des contradictions françaises, mais aussi, sans doute, de ce qu'on appelle alors le génie français. S'il vit ce moment avec un sentiment de plénitude frisant l'allégresse, c'est que s'impose à lui comme à tous le devoir sacré de défendre la patrie, et déjà, à travers elle, un système de valeurs égalitaire issu des Lumières et de la Révolution. Ce combat unit aristocrates, bourgeois, paysans et ouvriers, rouges blancs et bleus dans une même détermination, une même exaltation. Les premiers jours du conflit sont catastrophiques sur le plan militaire. Comme des centaines de milliers de soldats, le sous-lieutenant Charles Péguy et ses compagnons doivent marcher jour et nuit pendant trois semaines dans une chaleur torride, les pieds en sang dans leurs godillots cloutés, reculant encore et toujours devant l'ennemi pour l'attirer profondément dans le territoire de France afin qu'une contre-offensive puisse couper son avant-garde du gros de ses troupes et amorcer la reconquête. Charles Péguy ne vivra pas assez longtemps pour voir cette première victoire française. Revenu quasiment à son point de départ dans la Marne la veille de la bataille décisive, le 276e monte à l'assaut d'un régiment de mitrailleurs de la Hesse dans un élan suicidaire conforme à la doctrine de l'offensive à outrance qui fait office de tactique militaire. Péguy se montre impavide sous la mitraille et accueille la mort avec l'orgueil d'un homme qui communie avec les siens dans la défense d'un idéal, et le stoïcisme de celui dont la foi est chevillée au corps. Michel Laval, en racontant les trente derniers jours de sa vie, entonne un requiem à la gloire de ce peuple en marche que fut, le temps d'un été, la France combattante, avant que quatre ans de carnage ne noient dans le sang la "grande illusion" de Charles Péguy et de sa génération.